Après l’interview-choc qu’elle et Harry ont accordée à Oprah Winfrey au début du mois, il semblerait que Meghan Markle n’ait aucun mal à faire la une des journaux.
L’ancienne duchesse de Sussex s’est exprimée publiquement, avec son mari, pour dévoiler de nombreux secrets compromettants amassés au début de leur vie commune au sein de la famille royale britannique.
Inutile de préciser que les allégations et les accusations ont poussé comme la mauvaise herbe et que le palais de Buckingham se retrouve dans l’embarras.
La reine d’Angleterre a été contrainte de faire une déclaration à ce sujet la semaine dernière, mais il est évident qu’il ne s’agira pas de poussières que l’on peut simplement cacher sous le tapis.
Pour bien comprendre la chronologie de Harry et Meghan – et de leur soi-disant « Megxit » – il faut remonter le temps à une époque où le public n’avait pas la moindre idée de ce qui se passait derrière les portes closes.
Le prince Harry et l’ancienne actrice de Suits, Meghan Markle, s’étaient unis lors d’un mariage royal spectaculaire au château de Windsor, et tout était prometteur pour l’avenir de leur famille.
Pourtant, à peine la période de lune de miel terminée, les fissures ont commencé à se profiler. Pas dans la relation entre Harry et Meghan, mais au moment de s’installer après son entrée des États-Unis.
Traquée et même diffamée par certains des journalistes les plus contestables de la presse anglaise, Meghan a fait preuve d’un caractère très réservé et les spéculations n’ont pas tardé à souligner que quelque chose clochait.
Il semblerait que, pour une fois, les rumeurs étaient fondées: quelque chose ne va pas. En fait, il y avait bien des choses qui n’allaient pas.
Au cours de l’interview susmentionnée avec Oprah, Meghan a dévoilé qu’elle avait tellement galéré qu’elle avait été amenée à faire face à des pensées suicidaires – des pensées, ajouterions-nous, qui auraient apparemment été tout simplement ignorées par le Palais.
Qui plus est, elle et Harry ont dû se soumettre à des questions sur la couleur probable de peau de leur fils Archie, alors à naître.
Ces allégations étaient vraiment choquantes, mais ne constituaient malheureusement que la partie émergée d’un iceberg bien plus important que ce que l’on aurait pu prévoir. Les vagues qui ont déferlé à travers le monde à la suite de l’interview ont été considérables.
Si puissante, en fait, que la reine Élisabeth en personne a publié une déclaration pour confirmer qu’elle vérifiait elle-même les allégations.
« Toute la famille est attristée d’apprendre l’ampleur du combat que Harry et Meghan ont mené ces dernières années », peut-on lire dans la déclaration de la reine.
« Les questions évoquées, notamment celle de la race, sont préoccupantes. Bien que les souvenirs puissent varier, ils sont pris très au sérieux et seront abordés par la famille en privé.
« Harry, Meghan et Archie seront toujours des membres très estimés de la famille ».
Et les moindres faits et gestes de la reine ne sont pas les seules choses que les gens vont surveiller à partir de maintenant, c’est indéniable.
De nouveaux rapports du Mail on Sunday se concentrent sur la voie que Meghan Markle pourrait suivre maintenant qu’elle et Harry sont libérés des contraintes de la vie royale. Inutile de préciser que les rebondissements inattendus se multiplient.
Selon une haute personnalité du gouvernement britannique, Meghan pourrait décider de se présenter à la présidence en 2024 si le président actuel Joe Biden décide de ne pas briguer un second mandat.
La source, qui reste anonyme, aurait des liens étroits avec Washington, et a raconté comment Meghan cherche à élaborer une campagne et évalue actuellement des équipes de collecte de fonds.
La source aurait déclaré au Mail on Sunday : « Les réseaux blairite (Tony Blair), internationaliste et du parti démocrate fusent de toutes parts pour évoquer les ambitions politiques de Meghan et ses éventuels financeurs. »
En effet, un ami de Meghan aurait déclaré au magazine Vanity Fair l’année dernière qu’elle n’a pas renoncé à sa citoyenneté américaine en épousant Harry afin de conserver la possibilité d’entrer dans la politique américaine à une date ultérieure.
Meghan serait la première femme présidente des États-Unis si elle réussit. Joe Biden aura 82 ans lors de la prochaine élection et pourrait bien décider qu’il est préférable de passer les rênes à de plus jeunes têtes.
Mais Meghan ne serait probablement pas la seule candidate très en vue à se présenter aux élections de 2024, si elle décidait de le faire.
Donald Trump pourrait bien se représenter à la présidence, car il jouit toujours d’une immense popularité auprès des sénateurs et des électeurs du GOP.
Que pensez-vous de l’interview de Harry et Meghan? Que pensez-vous de la spéculation selon laquelle elle pourrait se présenter à la présidence?
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